ELLIOT » her beauty and the moonlight overthrew you END

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Date et lieu de naissance Née le soir du vingt quatre décembre mille neuf cent quatre vingt cinq à Bridgeport. C'est ici qu'elle a est née, qu'elle a grandi et qu'elle vieillira, tout comme sa mère, sa grand mère et des générations d'Edenfield avant elle.
Âge Cela fait donc d'Elliot une jeune femme de vingt quatre ans.
Caractère C'est trop complexe de décrire le caractère de la jeune femme en seulement quelque lignes, elle est sans doute unique. Elli n'est pas le genre de femme qui tombe amoureuse, elle n'est pas fleur bleue, elle déteste tout ce qui touche de près ou de loin à du romantisme et s'échappe sans crier gare à la moindre parcelle de sentiment. Elle sait ce qu'elle veut et fait tout pour atteindre ses objectifs, elle ne failli pratiquement jamais. C'est une femme qui aime la luxure et qui ne s'en cache pas. Elle aime le sexe pour le sexe et non pas comme une déclaration d'amour entre des personnes consentantes. Mais pour autant c'est une jeune femme cultivée à la couversation intéressante. Elle est capable de vous chanter les louanges de l'économie américaine durant une soirée mondaine pour ensuite vous chevaucher pour la nuit. Et ce n'est qu'une infime partie du paradoxe Elliotien.
Histoire Elliot est une fille de bonne famille, de famille aristocrate même. Elle a une jeune sœur avec laquelle elle ne s'entend absolument pas. Elle a grandit dans le luxe et l'amour et ne garde aucun séquelles traumatisant de son enfance plus ou moins idyllique. Pour le reste, la demoiselle s'occupait plus des garçons que des cours au lycée et a rapidement décidé d'arrêter les cours, ou plutôt de ne pas poursuivre ses études et de se faire un nom en tant qu'escort girl. Elle n'a, et n'aura jamais besoin d'argent, c'est pour son plaisir personnel, ou celui des autres ...

IT'S MY LIFE.


La vie c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber.


« ELIIIIIIIOT » Et merde. C’en était fini de sa petite retraite tranquille dans sa chambre coupée du monde et surtout, cachée de sa sœur. Cette dernière cria d’ailleurs dans toute la maison son nom jusqu’à ce que ses parents débarquent en furie lui demandant de faire quelque chose pour la calmer. En effet, lorsqu’elles étaient plus jeunes, seule la voix d’Elliot arrivait à calmer sa petite sœur, allait savoir pourquoi. L’ainée Edensfield ne pouvait pas penser pire cauchemar. Seul le cri hystérique de sa blonde de sœur arrivait à la faire sortir de ses gonds en moins de cinq secondes. Mais à la demande de ses parents, elle se déplaça jusqu’à sa sœur qui se trouvait dans sa chambre, allongée sur son lit avec une poupée Barbie dans les mains. Elliot resta sur le seuil attendant que sa jeune et stupide sœur se rende compte qu’elle était ce qui ne tarda pas plus de cinq minutes. La blonde se jeta sur elle pour la prendre dans ses bras. Elliot n’avait que dix ans mais elle ne supportait déjà pas les marques d’affection. Elle essaya de se dégager de son étreinte sans réussite et resta donc impassible le temps que sa sœur estimerait utile. Elle finit par la lâcher et l’entraina sur son lit. C’est dans ces moments là où Elliot se demandait qu’est ce qu’elle avait bien pu faire au bon Dieu pour écoper d’une sœur aussi différente d’elle. Si elle n’avait pas de preuves formelles, elle n’aurait pas cru ses parents quant à la réelle consanguinité de leur famille. En effet, sa jeune sœur était blonde aux yeux bleus, ne pouvait s’empêcher de crier tout le temps, détestant pourtant être le centre de l’attention. Elle était déjà dans la démonstration des sentiments mielleux ce qu’elle supportait le moins. Elle ne pouvait malheureusement pas lui dire non sinon ses parents lui retombaient sur le dos. Elle passa donc le reste de l’après midi à jouer à Barbie et Ken. Dire qu’il y en a encore qui se demande pourquoi aujourd’hui, Elliot ressemble à une poupée Barbie en chair et en os !


« T’as du feu ? »
« Celui que t’as au cul te suffit pas ? »


Seul le son des claquons aiguilles de la jolie brune résonnait dans le grand manoir. Elliot descendait les escaliers laissant le peu de monde qui se pressait dans l’entrée sans voix. Elle venait de mettre plus d’une heure à se préparer mais ne se lassait jamais de ce spectacle, les têtes qui se tournent à son passage pour admirer la courbe de ses reins, les yeux ébahis, les yeux exorbités des filles qui regrettent finalement d’avoir amenés leurs petits amis. Et pourtant, c’était le quotidien de la jeune Edenfield. En effet, en tant que première héritière de la fortune familiale et en l’absence de descendant mâle, c’est à elle que revenait la tache de faire bonne figure lors des galas familiaux ou autres œuvres caritatives en tout genre. Cela ne la gênait pas le moins du monde, elle aimait être vu en compagnie d’hommes de la haute société, elle aimait portait des robes hors de prix qu’elle ne remettrait plus jamais … C’était sa vie et elle ne l’aurait échangé pour rien au monde.

Aujourd'hui, le gala était chez elle et on lui avait octroyé comme cavalier le jeune duc d’une lointaine contrée de France. Il ne parlait pas le moins du monde le français ce qui ne la contrariait pas le moins du monde, cela faisait ça de moins à se soucier. Elle se contenta donc de parler de tout et de rien, à se balader entre les convives à vérifier s’ils n’avaient besoin de rien, à faire bonne figure, ce qu’elle savait faire de mieux. La soirée se passa sans heurt. Elle dansa lorsqu’il le fallait, faisait rire quand il était temps de détendre l’atmosphère et n’avait comme à son habitude pas bu une seule goutte d’alcool pour rester maitre de ses moyens. Minuit passé, les invités commencèrent à rentrer chez eux, après une soirée des plus réussies dans le manoir familial. Aux alentours de deux heures, seuls restés au milieu du salon les invités d’Elliot. Elle avait, pour bonne conduite si l’on puit dire le doit de faire ce qu’elle voulait de l’après soirée dans le salon. Elle invitait à chaque fois le gratin du gratin des invités présents, quelques chanceux qui auront droit de participer à le vraie fête. Au rendez vous, alcool, sexe and rock and roll. La musique classique qui avait plus tôt résonnée dans la salle laissa place à de la musique beaucoup plus contemporaine ou chacun pouvait danser à sa guise. Elliot avait troqué sa longue robe noire légèrement décolleté pour un micro short en jean et un haut de maillot de bain. L’été commençait à pointer le bout de son nez et elle comptait bien en profiter.

Elle n’hésitait pas lors de ces soirées à boire, à danser sur les tables, à déambuler d’invité en invité pour danser sensuellement avec eux, n’hésitant pas à aller beaucoup plus loin que lors de la soirée précédente. Elle était ici dans son élément. Chaque soir était différent malgré le caractère répétitif des choses. Aujourd’hui, ce serait ce duc qui aurait la chance de passer la soirée avec elle, dans sa chambre pour un show un peu plus, privée. Seulement, au petit matin, les choses se gâtèrent et il se lança alors qu’elle venait à peine d’ouvrir les yeux. Et s’il y a bien une chose qu’il faut savoir à propos d’Elli, c’est qu’elle déteste qu’on lui adresse la parole avant qu’elle ne soit réveillée. « Elliot, je voulais te dire quelque chose. » Elle lui lança son regard le plus noir tout en se relevant légèrement sur ses coudes. D’un coup d’œil dans sa chambre, elle apprit que le charmant jeune homme dont elle avait totalement oublié le nom était encore nu dans son lit, qu’il n’avait pas dégagé comme prévu et qu’il comptait apparemment rester un petit moment. C’est sans lui adresser le moindre regard qu’elle se leva et alla enfiler une robe d’été. Elle ouvrit la fenêtre et s’installa au balcon observant les alentours en pleine effervescence. Il devait être aux alentours de midi vu les nombreuses voitures qui se dirigeaient vers le centre ville. « Elli. »

Elle sursauta car il venait de lui prendre le bras. Il était plus proche qu’elle ne l’avait cru, mais aussi plus tenace. Et plus … nu. Elle croassa un « Quoi ? » encore endormie. « Elliot je veux que tu viennes avec moi en France. » Mais au fait, il n’était pas sensé ne pas parler un mot d’anglais l’autre duc machin chose. « Je croyais que tu parlais pas anglais. » Il paru légèrement embêté et rougit avant de chercher ses vêtements éparpillés dans la chambre et de s’habiller, tout en lui racontant sa vie. « En réalité, je parle anglais mais je déteste faire la conversation aux demoiselles de bonnes familles qui n’ont rien dans la tête. Toi, toi tu n’es pas pareille. Tu es … unique. Et cette nuit … C’était vraiment la plus belle nuit de ma vie et je veux en vivre d’autres. Elli je crois que … » Elle stoppa la conversation immédiatement en le rejoignant et en posant un doigt sur la bouche du brun. Non seulement il s’était foutu de sa gueule mais en plus il croyait qu’elle allait le suivre à perpete les oies. L’espoir fait vivre ! « Charles, rentre chez toi. Seul. Je ne veux pas de toi, je n’ai pas envie de quitter mon pays et j’ai encore moins envie de me marier avec toi. Alors rentre chez toi. » Il la regarda avec effarement sans pour autant bouger. Elle lui désigna la porte d’un geste exaspérée et attendit qu’il sorte pour soupirer et se remettre au lit. Après autant de mielleux, elle avait encore besoin d’un peu de sommeil.

ONLY YOU.

Pseudo p'tit lu
Âge dix huit

WELCOME

Ah mince parce qu'en plus entre temps y'en a plein qui ont été pris